Récital de musique romantique russe
Article de l’Est Républicain du dimanche 28 juin 2020
Le premier récital de piano déconfiné d’Aglaya ZinchenkoAu programme : un récital de musique romantique russe. L’occasion de découvrir des compositeurs oubliés dénichés par l’artiste durant le confinement.
Rien ne remplacera jamais la musique vivante. Les mélomanes l’attendent avec impatience depuis de longs mois. On pourra enfin la redécouvrir avec l’éblouissante pianiste bisontine Aglaya Zinchenko, qui donnera un récital déconfiné de musique romantique russe, le mardi 30 juin à 19 h 30, à la chapelle des Carmes, au 2, rue de la Préfecture.
« J’ai hâte de rejouer en public »
Le début du confinement avait mis un coup d’arrêt à son formidable élan artistique. Durant toute l’année 2019, la pianiste avait enchaîné les concerts, toujours à guichets fermés, ici au Centre diocésain, et ailleurs. Elle a donné son dernier récital en Allemagne le 8 mars.
« J’ai hâte de rejouer en public », sourit-elle. L’artiste est impatiente de partager avec le public son temps pour la musique. Ce temps que le confinement lui a offert pour aller à la découverte d’un trésor incomparable de musique romantique russe, de sublimes pièces pour piano de compositeurs oubliés tels que Liadov, Rebikov, Smelkov, Kalinnikov et Balakirev. « J’ai déniché ces pépites dans la pile de mes partitions, je les ai déchiffrées et interprétées l’une après l’autre en live, tous les jours sur Facebook, pendant toute la durée du confinement », explique-t-elle.
Le public découvrira un best-of de ces œuvres, interprétées de main de maître, dans le cadre splendide de la chapelle des Carmes.
Pour ceux qui ne la connaissent pas encore, il est bon de préciser qu’Aglaya Zinchenko est née à Saint-Pétersbourg en 1979. Elle a commencé le piano à l’âge de 6 ans et a joué son premier concerto avec orchestre symphonique à 9 ans. En perfectionnant son talent pianistique en Allemagne, elle s’est produite partout en Europe.
Elle vit à Besançon depuis 2014. L’écouter, en observant ses doigts parcourir le clavier, est un bonheur rare.
Article de l’Est Républicain du dimanche 28 juin 2020Le premier récital de piano
déconfiné d’Aglaya ZinchenkoLa pianiste Aglaya Zinchenko sera en concert le mardi
30 juin, à 19 h 30, à la chapelle des Carmes. Au
programme : un récital de musique romantique russe. L’occasion de
découvrir des compositeurs oubliés dénichés par l’artiste durant le
confinement.Hier à 18:33 
Aglaya
Zinchenko à la chapelle des Carmes en 2019. Photo ERRien
ne remplacera jamais la musique vivante. Les mélomanes l’attendent avec
impatience depuis de longs mois. On pourra enfin la redécouvrir avec
l’éblouissante pianiste bisontine Aglaya Zinchenko, qui donnera un récital
déconfiné de musique romantique russe, le mardi 30 juin à
19 h 30, à la chapelle des Carmes, au 2, rue de la Préfecture.« J’ai
hâte de rejouer en public »Le
début du confinement avait mis un coup d’arrêt à son formidable élan
artistique. Durant toute l’année 2019, la pianiste avait enchaîné les concerts,
toujours à guichets fermés, ici au Centre diocésain, et ailleurs. Elle a donné
son dernier récital en Allemagne le 8 mars.« J’ai
hâte de rejouer en public », sourit-elle. L’artiste est impatiente de
partager avec le public son temps pour la musique. Ce temps que le confinement
lui a offert pour aller à la découverte d’un trésor incomparable de musique
romantique russe, de sublimes pièces pour piano de compositeurs oubliés tels
que Liadov, Rebikov, Smelkov, Kalinnikov et Balakirev. « J’ai déniché ces
pépites dans la pile de mes partitions, je les ai déchiffrées et interprétées
l’une après l’autre en live, tous les jours sur Facebook, pendant toute la
durée du confinement », explique-t-elle.Le
public découvrira un best-of de ces œuvres, interprétées de main de maître,
dans le cadre splendide de la chapelle des Carmes. Pour
ceux qui ne la connaissent pas encore, il est bon de préciser qu’Aglaya
Zinchenko est née à Saint-Pétersbourg en 1979. Elle a commencé le piano à l’âge
de 6 ans et a joué son premier concerto avec orchestre symphonique à 9 ans. En
perfectionnant son talent pianistique en Allemagne, elle s’est produite partout
en Europe. Elle
vit à Besançon depuis 2014. L’écouter, en observant ses doigts parcourir le
clavier, est un bonheur rare.
